et si vous changiez les couleurs ...?
SAISON 2017-2018 : BALLETS ET OPERAS
Rediffusions des Ballets et Opéras du ROYAL OPERA HOUSE de Londres

LES DATES ET HORAIRES

La Flûte Enchantée

opéra
Lundi 16 octobre à 18h15

Alice au pays des merveilles

ballet
Lundi 13 novembre à 18h15

Casse-Noisette

ballet
Lundi 18 décembre à 18h15

Rigoletto

opéra
Lundi 12 février à 18h15

Carmen

opéra
Lundi 23 avril à 18h15

Manon

ballet
Lundi 11 juin à 18h15

TARIFS :

16€
12€ (réduction habituelles sur présentation des justificatifs en cours de validité)
9€ (sur présentation d'une carte d'abonnement au cinéma LE CLUB en cours de validité, \!/ nous ne débitons pas de places sur la carte \!/
La Flûte Enchantée (Royal opera House)
Angleterre | 2017 | 3h10 |

Réalisation :
Julia Jones
Avec :
Roderick Williams, Siobhan Stagg, Mauro Peter
La flûte enchantée, le magnifique opéra de Mozart est repris de manière enchanteresse dans la production de David McVicar, avec de splendides décors de John Macfarlane. Le prince Tamino promet à la Reine de la Nuit qu’il va sauver sa fille Pamina de l’enchanteur Sarastro. Il entreprend sa quête accompagné de l’oiseleur Papageno, mais les apparences sont trompeuses... La production classique de David McVicar prend en compte à la fois la gravité et les éléments de comédie de l’ouvrage de Mozart. Elle transporte les spectateurs dans un univers fantastique d’animaux qui dansent, de machines volantes et de cieux étoilés éblouissants. Les décors fournissent une toile de fond féerique à la partition kaléidoscopique de Mozart, que ce soit pour les coloratures pyrotechniques de la Reine de la Nuit, les duos d’amour lyriques de Tamino et Pamina ou les chansons enjouées aux accents populaires de Papageno. En plus d’être une comédie, La flûte enchantée est une expression des profondes convictions spirituelles de Mozart : les questionnements des Lumières, avec la recherche de la sagesse et de la vertu, sont au cœur de ce conte enchanteur. La flûte enchantée connut un succès public instantané et Salieri, le soi-disant rival de Mozart, la décrivit comme un « operone » – un grand opéra.
Alice au Pays des Merveilles (Royal Opera House)
Angleterre | 2017 | 2h50 |

Réalisation :
CHRISTOPHER WHEELDON (chorégraphe)
Avec :
Par un après-midi ensoleillé, lors d’une garden-party, Alice est surprise de voir Lewis Carroll, l’ami de ses parents, se transformer en lapin blanc. Elle le suit au fond d’un terrier et tout devient de plus en plus bizarre... Au cours de son voyage au Pays des Merveilles, Alice rencontre une profusion de créatures étranges. Elle est subjuguée par le charmant Valet de Cœur, qui a pris la fuite car il a volé des tartes. Les événements deviennent de plus en plus déroutants, plus Alice se réveille en sursaut. Tout cela n’était-il qu’un rêve ? Alice au pays des merveilles de Christopher Wheeldon a fait irruption sur scène en 2011 dans une explosion de couleurs, de magie scénique et de chorégraphies inventives et recherchées. La partition de Joby Talbot combine des univers sonores contemporains et des mélodies entraînantes qui évoquent les musiques des ballets du XIXe siècle. Les créations visuelles stupéfiantes et follement imaginatives de Bob Crowley font appel à des marionnettes, des projections et bien d’autres idées qui confèrent une merveilleuse crédibilité au Pays des merveilles. Alice croise un éventail de personnages extraordinaires et instantanément reconnaissables, comme l’irascible Reine de Cœur – qui exécute une hilarante parodie du célèbre Adage de la Rose de La Belle au bois dormant – mais aussi un corps de ballet de cartes à jouer, une sinueuse chenille ou encore un Chapelier toqué qui fait des claquettes. Mais le ballet n’évite pas les nuances plus sombres qui sous-tendent le récit de Lewis Carroll : une cuisine de cauchemar, un inquiétant Chat du Cheshire désincarné et le thé déjanté sont tous là dans leurs moindres détails. Le résultat est un régal et nous montre The Royal Ballet à son meilleur, alliant une danse de haut vol à un divertissement familial enthousiasmant.
Casse Noisette (Royal Opera House - 2017/18)
Angleterre | 2017 | 2h15 | opera

Réalisation :
Peter Wright
Avec :
La jeune Clara se glisse au rez-de-chaussée la veille de Noël pour jouer avec son cadeau préféré – un pantin casse-noisette. Mais le mystérieux magicien Drosselmeyer l’attendait pour l’entraîner dans une aventure féérique. Après avoir vaincu le Roi des Souris, Casse-Noisette et Clara traversent le Pays des Neiges pour se rendre au Royaume des Délices, où la Fée Dragée leur offre un merveilleux spectacle de danse. De retour chez elle, Clara se dit qu’elle doit avoir rêvé... mais le neveu de Drosselmeyer ne lui est pas inconnu. La production quasi insurpassable de Peter Wright pour The Royal Ballet figure parmi les versions les plus intemporelles et enchanteresses de Casse-Noisette. Avec ses décors festifs, ses flocons de neige qui dansent et toute la féérie de sa scénographie, le ballet monté par Lev Ivanov en 1892 est devenu le divertissement de Noël par excellence, et la musique somptueuse et sucrée de Tchaïkovski est la plus reconnaissable de toutes les partitions de ballet. Librement inspirée du récit de E.T.A. Hoff mann, le ballet débute par une fête de Noël pleine d’entrain dont le décor victorien est reproduit avec opulence et dans ses moindres détails par les créations visuelles de Julia Trevelyan Oman. La chorégraphie de Wright incorpore avec ingéniosité des fragments du matériau du ballet original qui nous sont parvenus, comme le sublime pas de deux de la Féé Dragée et de son Prince. Toutefois, en mettant l’accent sur la relation entre Clara et son prince Casse-Noisette, cette production ajoute aussi le filigrane touchant d’un premier amour.
Rigoletto (Royal Opera House)
Angleterre | 2017 | 2h45 |

Réalisation :
Alexander Joel
Avec :
Dimitri Platanias, Lucy Crowe, Michael Fabiano
Avertissement : Veuillez noter que le ROH: Rigoletto contient de la nudité ainsi que des scènes à caractère sexuel. La corruption de l’innocence est au cœur de la puissante tragédie de Verdi dans la production de David McVicar pour The Royal Opera. Rigoletto, bouff on à la cour du Duc de Mantoue, un libertin, se fait maudire par le père de l’une des victimes de son maître pour ses railleries irrévérentes. La malédiction semble prendre eff et quand le Duc séduit Gilda, la fi lle de Rigoletto... La production de David McVicar souligne la cruauté qui règne à la cour de Mantoue. Des courtisans richement vêtus s’adonnent à toutes sortes d’excès orgiaques au son des danses enjouées et entêtantes composées par Verdi. Parmi les grands moments musicaux de l’opéra figurent le bouillonnant air « La donna è mobile », où le Duc fanfaronne et dénigre les femmes, les ravissants et plaintifs duos de Gilda avec Rigoletto et le Duc, et le sublime quatuor du troisième acte où les voix s’entrelacent merveilleusement tandis que le récit approche de sa bouleversante conclusion. Giuseppe Verdi écrivit en 1855 que Rigoletto était son « meilleur opéra ». Pourtant, quand il le monta, il lui fallut pourtant se mesurer aux censeurs de l’état, qui virent d’un très mauvais œil cette description d’un gouvernant immoral, mais le compositeur fi nit par l’emporter grâce à l’immense succès rencontré par son ouvrage lors de sa création de 1851. Rigoletto fut représenté 250 fois au cours des 10 années qui suivirent et est demeuré l’un des opéras les plus populaires du monde.
Carmen (Royal Opera House)
Angleterre | 2017 | 3h20 |

Réalisation :
Jakub Hrůša
Avec :
Anna Goryachova, Francesco Meli, Anett Fritsch
Carmen est l’ouvrage le plus connu du compositeur français Georges Bizet et l’un des opéras les plus célèbres de tout le répertoire – des pages comme la Habanera et la Chanson du Toréador ont marqué l’inconscient collectif comme peu d’autres morceaux de musique. L’envoûtant alliage de passion, de sensualité et de violence de cet opéra sembla d’abord excessif pour la scène ; la création de 1875 essuya un échec critique, et Bizet mourut peu de temps après, sans pouvoir savourer le succès spectaculaire que sa Carmen était destinée à connaître : rien qu’au Covent Garden, cet ouvrage a été représenté plus de 500 fois. Créée à l’origine pour l’Opéra de Francfort, la production extrêmement physique de Barrie Kosky jette un regard neuf sur cet ouvrage à la popularité jamais démentie. Ce metteur en scène australien est l’un des plus demandés dans le domaine lyrique, et ses débuts au Royal Opera dans Le Nez de Chostakovich en 2016 ont ravi le public et la critique. Pour Carmen, il a concocté une version tout sauf traditionnelle, incorporant des pages écrites par Bizet pour l’opéra mais rarement interprétées, et donnant une nouvelle voix au personnage central éternellement fascinant du drame.
Manon (Royal Opera House)
Angleterre | 2017 | 2h35 |

Réalisation :
Kenneth MacMillan
Avec :
Alors que Lescaut, le frère de Manon, propose sa jeune sœur au plus off rant, celle-ci fait la connaissance de Des Grieux et tombe amoureuse de lui. Ils s’enfuient ensemble à Paris, mais Monsieur G.M. fait miroiter à Manon une existence luxueuse, et elle est incapable de résister à la tentation. Encouragé par les Lescaut, Des Grieux triche aux cartes pour essayer de gagner sa fortune à Monsieur G.M., mais les forces de l’ordre interviennent. Accusée de prostitution, Manon est arrêtée et déportée à La Nouvelle Orléans, où Des Grieux la suit. Dans leur fuite, Manon meurt d’épuisement. En s’attaquant à Manon, Kenneth MacMillan a pris pour source le roman français du XVIIIe siècle déjà adapté à l’opéra par Massenet et Puccini. Son ballet a été créé le 7 mars 1974, et les rôles principaux étaient dansés par Antoinette Sibley et Anthony Dowell. L’ouvrage est vite devenu un pilier du répertoire du Royal Ballet, et une référence en matière de danse adulte et dramatique. MacMillan s’est découvert une sympathie nouvelle pour la capricieuse Manon, qui se bat pour échapper à la pauvreté. Les créations visuelles de son collaborateur habituel Nicholas Georgiadis en sont le reflet, dépeignant un univers de splendide opulence pollué par la misère et la déchéance. Les spectaculaires scènes d’ensemble conçues par MacMillan pour la troupe au complet dessinent des portraits frappants et complexes des différentes milieux de Paris et de La Nouvelle Orléans, mais c’est surtout le pas de deux passionné de Manon et Des Grieux – rappelant l’intensité du Roméo et Juliette monté précédemment par MacMillan – qui est le moteur de cette tragique histoire et fait de Manon l’un des drames les plus intenses de son chorégraphe
Cinéma le Club
Grenoble

9, bis rue du Phalanstère 38000 Grenoble

5 salles classées
Art & Essai
Europa Cinéma
Label Recherche
Label Découverte






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reservations scolaires

Tarifs
Tarif normal: 8,10 €
Tarif réduit: 7,10 €
Abonnements
6 places : 37,80€
12 places : 64,80€
Tarif - 14ans : 4,50€