Comme dans son précédent film A l'origine, où François Cluzet embrassait son nouveau destin dès qu'on l'avait pris pour un autre, Xavier Giannoli reprend les thèmes du malentendu, de l'imposture et de l'illusion qui lui sont chers pour Superstar. Il explique pourquoi ces thématiques sont récurrentes dans son travail : "Je suis attiré par ce décalage entre la vérité humaine et la comédie sociale. Peut-être parce que comme beaucoup de monde, j'ai peur de devenir le personnage que la société veut que je joue".